Les bobos détestent les Popus. Ils crient un jour à la lèpre populiste, l’autre jour à la peste jaune. Ils ne voient pas la vague de fond qui va créer le tsunami. Si la revendication ne portait que sur le prix du gazole, un mort aurait suffi à faire refluer les troupes. Mais on voit bien que cela ne les arrête pas. C’est parce que la revendication sociale est bien plus profonde. Simplement elle est très mal exprimée. Ne pas la prendre en compte pourrait être fatal à la démocratie actuelle.
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