C’est un bon article poto, mais on as pas la même vision du noir. J’ai physiquement, manifesté en civil, en blouson noir, pacifique a visage découvert.
Le noir pour les « anarchistes », et « ultra-libéraux », militants sans associations fixes, sans partis ni syndicats. J’en suis un, plein de la sympathie pour mes rouges, mes bruns, mes jaunes, et bien sur mes bleus. A force de convergence des lutes cette métaphore vas finir trop large, et il faudra revenir aux isme et istes.
Le noir pour désigner les forces vive de banlieue je l’ai entendu un certain nombre de fois c’est vrai, mais ils gueulent le nom de leur ville et on les appelle ainsi. Nous c’est les toulonnais. Il n’ont pas un mode d’action « collectif de paranoïaque », « noirs », mais des équipes stable et fermés comme les « brun ».
Le noir de la mafia, de la résistance armée, de la criminalité qui a aussi des oignon politique, l’usage historique du terme, je l’ai peu entendu récemment. Il n’a pas encore de remplaçant selon moi, on parle de « mercenaires de macron », « alcooliques », « rageux », « oportunistes », pour les actions clairement criminelles.
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