Mouais, le problème, c’est déjà d’accorder crédit à des histoires, une philosophie, en un mot tout un folklore typiquement juif dont nous n’aurions jamais dû entendre parler sans le prosélyte psychopathe Paul.
Parce que pour exporter ce romanesque grandiloquent, il a fallu aussi et tout d’abord implanter le substrat, la culpabilité, dont nul peuple sur terre, autre que juif, n’avait jamais entendu parler. Et bref, voir du merveilleux dans cette ordure, ce n’est rien d’autre qu’admettre la réalité préalable du Péché, que cela est, etc. En fait, toute une vision grandiose de l’Homme, qu’il est est une ordure ambulante à redresser.
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