Macron a tout simplement les réflexes des dames patronnesses, les réflexes d’une idéologie reçue par lui dans l’éducation que lui ont inculquée les jésuites !
Un autre aspect de cette éducation quasi séminariste est une prpention à dire la messe et à précher la « bonne parole ».
Or, les maires, même les plus petits, sont des pièces essentielles du puzzle électoraliste fondé sur le clientélisme et un découpage qui a permis aux partis dominants d’instaurer un bipartisme d’alternance bonnet blanc/blanc bonnet.
Un débat entre maires et gouvernement n’est pas un échange entre citoyens et dirigeants, mais une grand-messe dite par le primat des Gaules devant les curés des paroisses.
Il ne faut pas oublier que les départements ont été calqués sur les diocèses, circonscriptions administratives du Vatican héritées de l’empire romain. Les méthodes des curés ont fait leurs preuves et n’ont jamais été totalement éradiquées. Déjà, le concordat de Napoléon avait rétabli ce que la révolution avait éloigné momentanément, mais depuis, la loi de 1905 n’a fait que séparer les pouvoirs de la république et du clergé, elle n’a pas aboli cette engeance.
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