Si la France a fauté dans cette affaire, c’est bien avec F. Hollande qui a reçu prématurément al-Khatib , chef de l’opposition syrienne, à l’Elysée. Quelques temps plus tard volte-face, et la realpolitik Hassad l’emporte sur les idéaux occidentaux non transposables. L’expérience lybienne n’avait servi à rien. Et parmi les conséquences, les drames inhérents à toutes les guerres.
Lors d’un voyage en Syrie juste avant la guerre, il était perceptible que les syriens ne voulaient pas d’une démocratie à la française considérant que le peuple n’était pas prêt et que le problème islamique était plus grand que celui du pouvoir autoritaire du clan Hassad. Visiblement, ailleurs on ignorait cette réflexion syrienne.
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