J’ai appris a piloter sur un Jodel.
Le strict minimum, et pas de volets.
Le B A BA du pilotage, comprend le décrochage.
Si vous cabrez trop, les filets d’air qui sustentent l’aile, ne font plus leur « boulot », et l’avion bascule sur son axe (de tangage) Je simplifie, bien sûr.
Donc, si on a de « l’eau sous la quille », il faut rendre la main, reprendre de la vitesse et remonter, en mettant les gaz.
Apparemment sur ces Boeing 737, c’est un sofware qui gère.
Si j’ai tout compris, l’avion cabre, le logiciel le fait plonger, et rebelote, repartir en cabré a un tel point, que l’avion décroche, et devient incontrôlable. Il se peut qu’il parte en autorotation (Vrille)
C’est comme pour nos voitures : bourrées d’électronique, qui nous jouent des tours. Mais sur la route, on peut s’arrêter.
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