En réponse à :
« Quand on est fragile, qu’on peut se faire bousculer, on ne se rend pas dans des lieux qui sont définis comme interdits et on ne se met pas dans des situations comme celle-ci. »
Moraline perverse qui comme toujours relève de la paille et de la poutre, car ne pourrait-on dire ? :
je pense que quand on est inapte et pas fini, qu’on peut se faire bousculer par le peuple, on ne se rend pas aux élections qui sont définies pour des épaules à la taille du costume, et on ne se met pas dans des situations comme celles-ci.
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