Hier, j’ai perdu une amie de longue date, de celles qui vous émerveillent à chaque instant et qui vous écoutent avec l’infinie patiente de la pierre.
Je crains de ne jamais retrouver cette amie, car mon temps est trop court maintenant. Et elle ne renaîtra pas de ses cendres assez vite pour un dernier instant de complicité silencieuse.
Salut à toi ma Dame, Salut à toi notre Dame.
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