En France, les prix de l’immobilier ont toujours été délirants.
Il est injustifiable de payer pendant quinze ans un deux pièces, surtout en banlieue. On nous fait toujours miroiter, en réponse, « les services de proximité » (train, commerces, etc.) mais cela cache surtout le marché de la spéculation qui considère le foncier comme un produit lambda soumis à la demande du marché.
Et encore, on ne parle pas des charges et impôts locaux — bien trop élevés dans certaines communes. La plupart des appartements que j’ai pu visiter ne valait clairement pas son prix (même si on nous dit que c’est « le prix du marché »), mais comme c’était dans « un coin riche » leur valeur était démentielle — et ce même en cas de conditions défavorables.
Ce qui me fait marrer (et pleurer également), c’est qu’on nous vend du vieux à un prix ridiculement élevé. Je ne compte plus le nombre de logements des années 60 (vieux, mal foutus, immeubles affreux et bons à dynamiter) qu’on voit partout en France...
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