Le socialisme, comme toute doctrine issue du marxisme, vise la mort de l’humain, car créature de Dieu, pour le transformer en machine consommatrice et productrice soumise au rendement économique, au profit du monde de l’argent.
Cet article sur la doctrine socialiste est tout à fait représentatif : on y parle d’économie collectivisée, de capital d’entreprises, de capital emprunté, de « holdings », de titres de vente, de « market socialism », de socialisme planifié, de “main bank”, d’effet casino, de répartition de bénéfices, de rentabilité, d’opportunités commerciales, de moyens excédentaires, de dividende social, de parts minoritaires, de système bancaire, de « coupons », de montage astucieux, de lucre, de fonds de pension, d’émissions neuves, de marché secondaire, d’impôts directs, de taux d’intérêt.
Un macronien se sentirait ici comme un poisson dans l’eau.
Il n’y a plus de politique. Rien sur la spiritualité. Rien sur l’humilité et la solidarité qui rapproche les humains.
Rien non plus sur l’honneur, la fidélité, la force et la joie d’être ensemble.
Rien sur le désir de perpétuer une histoire familiale, car même l’héritage est nié :
"A son décès, l’État reprend les titres du défunt et les vend en bourse, récupérant quelques coupons. On retrouve donc l’État aux deux extrémités du cycle des titres. Ceux-ci échappent ainsi à la filière de l’héritage."
Le socialisme est une machine idéologique qui construit un monde mort, sans âme.
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