Ces compagnies de bus sont soumis au code des marchés publics dans leur relation avec ceux qui passent commande. Ils ont répondu à un appel d’offre. Et comme nos chers élus sont les maitres d’ouvrage de ces appels d’offre, il faut leur demander des comptes. Comme d’habitude, ils choisissent le moins cher du moins cher sans s’occuper des conditions. C’est du grand classique. Le chauffeur n’est qu’un lampiste à qui on ne demande pas son avis. Le premier à devoir rendre des comptes n’est pas le lampiste ou son employeur, mais celui qui a choisi la compagnie de bus sur appel d’offre en choisissant sans s’occuper des conditions de sécurité.
Et s’il s’en est occupé, il doit agir en conséquence puisque dans ce cas les conditions du marché ne sont pas respectées.
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