Des études scientifiques incontestables montrent que le glyphosate n’est ni toxique ni cancérigène :
La capacité à se comporter en poison, la toxicité, est mesurée en faisant absorber des doses croissantes de produit à tester à des groupes de rats de laboratoire et à compter la mortalité. C’est la dose létale médiane ou DL 50. Résultat : Dl 50 du glyphosate : 5 grammes, du sel de cuisine : 3,3 grammes. Le glyphosate est légèrement moins toxique que le sel de cuisine.
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La cancérogénéité s’évalue en suivant médicalement un groupe
d’utilisateurs pendant au moins dix ans, en comptant le nombre de
cancers apparu et en comparant ce nombre à celui d’un groupe de
personnes au même mode de vie mais qui n’est pas confronté au produit à
tester. Habituellement, le nombre de participants à ces études est de mille personnes.
Pour le glyphosate, ce sont des études colossales qui ont été effectuées : 54000 agriculteurs pour l’étude américaine et suivis pendant vingt ans, 180000 agriculteurs pour l’étude française.
De l’avis des spécialistes, de telles études ne peuvent pas rater les cas de cancers apparus.
Résultat : dans les deux études indépendantes l’une de l’autre, il n’y a pas plus de cancer chez les agriculteurs qui utilisent le glyphosate que chez ceux qui ne l’utilisent pas.
Le glyphosate n’est pas cancérigène.
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Rationnellement, il n’y a aucune raison d’interdire le glyphosate. Nous ne sommes plus dans le domaine de la raison.
Glyphosate : le nouvel amiante ?
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