car il y a trop de problèmes en suspens, car si certains peuvent se régler, d’autres par contre comme le logement des policiers
: pas seulement de problèmes en suspens, mais insolubles.
Vous n’avez pas parlé du problème de l’affectation : j’avais connu un policier qui chaque semaine, devait faire quelques centaines de kilomètres pour rejoindre sa femme -qui était aussi policière— et ses enfants dans une vile « très demandée ». D’autres dont les demandes étaient moins anciennes que lui ont eu leur mutation réglée plus rapidement car leur syndicat a été plus « fort ». Il a fait une déprime et on a eu peur.
Pareil pour les nominations : on passe un examen pour devenir brigadier, on est reçu ; pour être nommé, il faut attendre plusieurs années même mais d’autres qui sont « mieux » pistonnés par leur syndicat sont nommés plus rapidement.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération