Le cas de cette dame est représentatif de ce qu’est l’étude et l’enseignement de l’histoire dans l’éducation nationale.
Comme évoqué par l’auteur elle se garde bien d’avancer ses thèses face à des gens capables de la contredire, mais se lâche lorsqu’elle est seule à tenir le crachoir.
Le problème c’est que ça se passe comme ça dans tous les collèges ou les lycées de France et de Navarre : les profs prennent leurs salles de classe pour des salles de meeting.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération