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Le problème essentiel n’est pas le choix des dirigeants, il est dans l’attitude du peuple qui laisse le pays décliner sans réagir. Comme le dit l’adage, quand la mer monte, tous les bateaux montent, et je rajoute, quand elle descend, tous les bateaux descendent. C’est pourquoi les élus ne peuvent pas être à la hauteur de leur tâche, on peut chercher n’importe où, on ne trouvera personne.
Souvenez vous des manifestations passées, quand les gens n’étaient pas assez courageux pour revendiquer eux-mêmes, ils envoyaient leurs enfants dans la rue, espérant en cachette qu’il y aurait des victimes pour que le pouvoir soit forcé de reculer, que voulez vous attendre d’eux ?
Et aujourd’hui, les universités sont sous la coupe réglée de gauchistes que personne n’ose faire évacuer, la justice est entièrement féminisée et politisée. De braves papys et mamies croyant bien faire et soumis à la propagande médiatique s’organisent pour recevoir des migrants clandestins qui vont probablement les voler et les tabasser. Les seules manifestations qui rassemblent du monde défendent des privilèges indéfendables, comme ceux des salariés SNCF.
Comment voulez vous qu’il y ait un sursaut dans ces conditions ? C’est trop tard, bien trop tard et l’histoire ne repasse pas les plats. Les peuples paient toujours très cher leurs erreurs, et la note nous sera présentée bientôt.
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