C’est drôle, votre débat, quand on lit ça depuis un pays en décroissance contrainte... Ici, les caissières passent l’essentiel de leur journée à papoter entre elles, dans l’attente du jour où un produit recherché (café, PQ, lessive...) fera son apparition pour quelques heures dans les rayons.
Situation qui ne pourra d’ailleurs que continuer à se répandre partout sur la planète.
Ce à quoi nous assistons n’est pas que la continuité de la recherche de productivité, c’est aussi l’ultime tentative de faire survivre la légende de la croissance.
Les employeurs du chef de rayon de l’Elysée lui ont demandé de gratter les derniers gisements de monnaie. Les autres chefs de rayons grattent aussi...
Mais la très prévisible fin du pétrole ne peut que mettre un terme à cette illusoire abondance. Alors, faut-il profiter de ces dernières années de sursis ? Se préparer à une vie plus modeste ?
De toute façon, la décroissance énergétique va ramener le plein emploi... Ce qui est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle, vu que la pénibilité sera de retour à grande échelle.
... et bonne décennie à tous !
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération