Le neoliberalisme n’existe pas. Il n’y a personne ou théorie qui ne s’en réclame.
On trouve ce mot employé par Charles Gide en 1898, pour désigner les mouvements nationaux-socialistes Italiens et retombé en désuétude après.
Dans les années 80 ce mot est ressorti par les idéologues « transféritistes » (ceux qui adorent vivre de la spolation par l’intermédiaire de l’état (socialistes, communistes, étatistes)) pour stigmatiser les théoriciens libéraux anti-Keynesiens défendant les idées de non intervention Keynesienne de l’état dans l’économie et la marché libre.
Le transferitisme sont le regroupement des idéologies des choix publics pour des « avantages concentrés » contre les "coûts dispersés" par l’intermédiaire de la force coercitive de l’état.
Dépenser l’argent des autres pour les minorités ou les castes, généralement passagers clandestins des avantages qui profitent des intérêts des masses victimes qui ne peuvent valoriser leurs préjudices diffus et quantifiables pour se rebeller.
Le neoliberalisme est un mot utilisé pour stéréotyper, et stigmatiser par les transferitistes, pour éviter de répondre des conséquences et perversions du tranferitisme sur les masses diffuses.
Le neoliberalisme s’oppose au transferitisme...
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