On voit que l’auteur de cet article, tout comme les commentateurs-pépères qui continuent leurs habituels radotages et poncifs, n’ont jamais fait grève.
S’ils avaient un minimum de connaissance du monde du travail, ils sauraient qu’on ne déclenche pas une grève comme on appuie sur un bouton.
Il n’y a pas, au départ, « les syndicats » et « la base ». On ne déclenche pas un arrêt de travail s’il n’est pas l’émanation de ladite « base ». Un syndicat ne fonctionne pas comme un parti politique.
Après, durant une éprouvante grève qui dure, les leaders peuvent tenter des manoeuvres. Mais de nos jours, tout mouvement « sérieux » part de la base.
On n’est plus au temps du PCF prépondérant, d’un secrétaire, Martinez ou autre, qui déciderait de l’ampleur d’un mouvement, du choix des cibles...
Le monsieur qui a écrit ce papier, prenant pour cibles « les syndicats », se trompe d’époque, n’est qu’un rêveur bourgeois.
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