En cinq ans, dans tous les médias, pas une seule fois, le point de vue de la majorité, ceux qui sont en faveur du Brexit - be They British or not - n’a pu s’exprimer.
Une honte bien évidemment.
Nous sommes là confrontés à un journalisme sur le modèle « Je t’informe si je veux, sur ce que je veux et quand je veux ! » ; après les classes moyennes supérieurs et les classes supérieures, une grande partie de la classe politique, c’est au tour des « journalistes » de faire sécession en se vautrant dans un journalisme d’opinion qui signe la mort du métier de journaliste.
En 1940, la GB accouchera d’un Churchill, la France d’un Pétain. Quant à vouloir faire la leçon à Shakespeare, Swift, Dickens, Kipling et Orwell... se propose-t-on de leur opposer BHL, Zemmour, Onfray, stars des médias ?
Avec le Brexit, la politique reprend toute sa place en GB et les espoirs d’une démocratie à nouveau en mouvement ; chacun sera jugé sur ses résultats. Il y aura vraiment une place pour un premier ministre chef d’Etat si celle ou celui qui occupe 10 Downing street en a l’étoffe, et pas simplement un strapontin pour un larbin de la Commission relais d’une mondialisation sans honneur : carrière internationale oblige !
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