« comprendre l’évolution économique de l’Algérie, en ces moments difficiles, cruciaux, aujourd’hui, au regard des réserves de change qui ne cessent de fondre ? »
C’est ce qu’on appelle « se poser des questions inutiles » !
En Algérie, il n y a pas une « économie nationale », il y a une économie pirate qui fonctionne avec le change pirate des devises étrangères à chaque coin de rue et jusqu’à la baraque d’El Mouradia ! Ce change pirate alimente les comptes des importateurs hors la loi qui se sont substitués au Commerce Extérieur. Ces importateurs se mobilisent pour maintenir constamment le plein des mangeoires et ainsi garantissent la « STABILITÉ DU PAYS », ce qui n’est pas tellement difficile quand on sait qu’ici la loi est depuis toujours « La primauté de l’estomac sur le cerveau » ! Est-ce une idéologie durable ? Oui, une seule cause peut dérégler le système algérien le plus stable, le plus fossile, le plus inerte, le plus immobile, le plus plat, le plus solide, le plus figé, le plus congelé et le plus mort de la planète : Ce sera le tarissement des richesses qui entraînerait celui de la mamelle du régime FLN/UGTA/RND qui a réussi à engraisser et donc à handicaper mentalement et physiquement le peuple algérien !
Mr Hamed, vous pouvez me « signaler à la Rédaction » ou simplement me « bloquer » comme le faisait automatiquement C.E.Chitour qui a fini par gagner sa promotion, il est devenu ministre... Et moi je suis toujours là à maintenir le cap quelque soit les résistances, les complots et les trahisons !
Le régime algérien était en pleine illégitimité avec Bouteflika, la situation est devenue encore plus critique avec la désignation de Tebboune et son faux gouvernement ! Il n avait pas eu un simple boycott des élections le 12 décembre 2019, ce qui aurait donné un atome de légitimité à Tebboune même si le taux de participation restait infime... NON, LA CHOSE ÉTAIT PLUS SÉRIEUSE ET AUCUN PEUPLE N’AVAIT RÉUSSI A CE JOUR A FERMER LES BUREAUX DE VOTE ET MÊME A LES BARRICADER, LE RÉGIME ÉTAIT MORT ET INEXISTANT !
Les élections n’avaient pas eu lieu, Tebboune n’a pas été élu et ne peut donc ni s’asseoir sur le Koursi, ni parler au nom du peuple, ni désigner un gouvernement, ni toucher à la Constitution... Et les pays étrangers qui gardent le silence et même félicitent le régime algérien, ont trahi tout ce qui pouvait les épargner eux-même d’une déchéance certaine.
Mon rappel de 2018 : https://www.facebook.com/notes/mohammed-madjour/lettre-envoy%C3%A9e-%C3%A0-monsieur-abdelaziz-bouteflika-pr%C3%A9sident-de-la-republique/2850331581658903/
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