Et puis, transportons encore une fois dans le passé puisque j’ai cité mes grands-parents, je pense à mes arrières-arrières grands parents (par exemple), ils vivaient d’interminables hivers à tel point qu’ils cédaient aux marchands de bois de chauffage et leur en achetait bien plus que de besoin ainsi qu’aux marchands de fourrures. Voilà, ils croyaient naïvement que jamais ne reparaîtrait plus le Printemps et ainsi faisaient la fortune des bonimenteurs et marchands de portes bonheurs !
De nos jours, pour défier la nature capricieuse, on est prêt à tout et surtout à signer des chèques en blanc de peur que la mer ne déborde et les ours blancs envahissent nos campagnes.
Naîfs restons en espérant des jours meilleurs et en relativisant, notre vie n’étant point éternelle ni celle de nos descendants, il s’agit de sagesse, tout simplement.
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