Certes la pollution au Nox liée à la baisse de la circulation auto, est effective ; malgré tout au niveau des particules pm 2.5, les plus nocives, qui ne sont pas détaillées dans les relevés AirParif, la baisse n’a pas été si franche, car dans L‘est France et la région parisienne cette pollution aux pm2.5 est restée élevée, au-dessus des normes de 50 mg/m3 depuis le confinement. Cette pollution est d’une autre origine que carbonée.( certainement pollution due aux traitements agricoles, et usines )
D’autre part, présenter le CO2 comme polluant est une absurdité. C’est un des composants du monde du vivant.
La baisse du CO2 liée à la diminution du trafic aérien et auto n’aura aucun effet sur le réchauffement en cours, car La théorie de l’effet de serre, par levier CO2 anthropique, n’est absolument pas démontrée.
C’est tout au plus un postulat, qui n’est partagé que par les experts du GIEC, lesquels ont verrouillé l’information à ce sujet.
Ceux qui s’intéressent aux problèmes climatiques depuis longtemps, savent très bien, qu’un grand nombre de scientifiques travaillant sur le climat, ne sont pas en accord avec la thèse « carbocentrique » du Giec, relayée par la plupart des ONG et associations dites « vertes ».
La théorie de Fourrier reprise par Arrhenius en fin 19 siècle, sur « L’effet de serre un phénomène radiatif » est tres sujette à caution.
Critiquée début 20 siècle par Angstrom, souvent remise en question parmi les scientifiques elle a été abandonnée pendant 60 ans, puis remise au gout du jour par Bert Bolin dans les années 1970.
Hors Bert Bolin était un des premiers scientifiques…… membre créateur du GIEC.
Cette théorie a inspiré le protocole de Kyoto en 1998, et entraîné la création du marché des droits carbones. Dans la foulée la finance s’est emparée, de la titrisation des droits à polluer.
Depuis les années 2000, le marché carbone des droits à polluer n’est plus là pour « encadrer » la pollution, il est devenu une extension du domaine de la finance. Voir l’ouvrage d’Aurélien Bernier, « Le climat otage de la finance ».
Essayez de trouver une étude donnant la part anthropique du CO2 rejeté, dans la totalité du CO2 dégagé dans l’atmosphère. Même dans les documents émanant du GIEC elle n’est pas « répertoriée ».
En effet en ce qui concerne le CO2, on trouve partout les valeurs des échanges des cycles du carbone, exprimées en Gt/C an, ratio rejets et puits. Mais si on exprime cela en proportion dans l’atmosphère, c’est très, très peu.. Les 400 ppm actuelles, c’est 0.04 % du volume total de l’atmosphère.
Bref le CO2 ne peut pas être le bouton de réglage du climat, c’est une imposture. La simple lecture des blogs spécialisés contradictoires, sur lesquels la communauté scientifique s’exprime, en est la meilleure illustration.
http://www.science-climat-energie.be/2018/08/06/le-co2-et-le-climat-avec-et-sans-effet-de-serre/
6 août 2018atmosphère et CO2, climat, effet de serreGeorges Geuskens
Et pour ceux qui en ont le temps. :
http://www.pensee-unique.fr/effetdeserre.html#lindzen
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