Moi, je pense que Nicolas Sarkozy, dans sa façon de gouverner ressemble à celle de George W Bush et aussi à celle de Jean-Marie Le Pen (50-50). Si Jean-Marie Le Pen polémique sur les origines étrangères de N.Sarkozy, c’est parce qu’il est tout simplement jaloux, de sa popularité plus forte et l’accuse de lui voler ses idées ( ce qui est complêtement faux car, à la base, elles sont identiques) ; mais aussi parce que Le Pen a peur que Sarkozy lui pique ses électeurs et ses adhérents (FN) ; ce qui est le cas. A savoir, que N.Sarkozy est peut-être d’origine étrangère (Hongrois par son père et Juif Grecque par son grand-père maternel) mais c’est une immigration européenne et blanche ; pas Africaine ou Nord-Africaine... A savoir que quelques unes de ces personnes soutiennent Le Pen et sont adhérentes au FN. Alors pour ça... Si vous préférez, Sarkozy et Le Pen font tous deux concurrence. C’est vrai que Le Pen commence a être vieux... donc certains Frontistes et/ou Nationalistes trouvent qu’il ne mènera à plus grands choses... Ou alors, en 2005, quelques uns étaient partisants du « oui » à la constitution européenne (comme Sarkozy). Ca n’était pas le cas de Le Pen. Beaucoups des nouveaux Sarkozystes sont des déçus de Le Pen. Biensûr ; la concurrence des propos ne sont pas concurencés qu’entre Le Pen et Sarkozy, mais aussi avec Philippe De Villiers (MPF) et Bruno Mégret (MNR). Mais Sarkozy est un peu à part... Bien qu’il a des approches avec le FN et Le Pen ; il est aussi ultra-libéraliste... Ce n’est pas le cas de l’extrême-droite. Par conséquent, il est aussi très autoritaire sur le plan sécuritaire et policier... De la même façon que George W Bush. Donc dans ce cas il fait 50% Le Pen et 50% Bush (politiquement parlant). Le Pen : Pour les propos les plus récents et les rafles et expulsions en série. Bush : La façon de diriger, gouverner, réprimender policièrement (tolérance 0). Sinon, il est très libérale pour les privatisations de certains services publics (ADP, Air France) pour l’Europe et la mondialisation ; ainsi que pour les délocalisations. De ce côté l’extrême-droite est très fortement opposé.