En réponse à :
Faut-il sauver les vieux, faut-il sauver les jeunes ?
Dans certaines cultures africaines, la mort d’une personne âgée est ressentie comme plus douloureuse que celle d’un enfant, un vieux qui disparaît c’est tout un savoir, tout une sagesse qui seront perdus, en d’autres horizons, le nôtre par exemple, la mort d’un enfant est la pire chose qui puisse arriver, sa mort est injuste, il n’aura pas profité de la vie, alors quelle est la bonne réaction ? Cette question a-t-elle un sens ?
Au sujet de la médecine chimique, elle a sa place sans aucun doute dans les cas extrêmes, ne serait-ce que comme moyen palliatif pour diminuer la souffrance, mais avec l’assentiment éclairé du malade quand c’est possible ou alors celle de la famille, seulement notre mode de vie pour autant ne peut que générer des malades tant de l’esprit que du corps, alors c’est peut-être de toute urgence pas là qu’il faut commencer, mais cette démarche ne fait pas l’affaire de big pharma, pas plus que la paix des cœurs ne peut faire celle de la guerre.
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