Dans l’énumération des hormones de l’amour, mince d’oubli : les endorphines !
C’est ce qui est exprimé-caché par Pasternak : « Ils s’aimaient, et toute la nature en témoignait ! ». L’illusion optimiste qui fait voir la vie en rose, précisait Edith Piaf.
Celui qui par sa voix et son porté-bercé calme a pu apaiser et endormir un bébé inquiet en sait quelque chose, lui aussi.
De tous les nonapeptides, l’ocytocine est spécifique aux mammifères, probablement depuis nos ancêtres mammaliens du Trias : elle joue un rôle essentiel dans le lien de la mise bas à la lactation, puis à la poursuite de la lactation par la stimulation par le bébé tétant. Son rôle supplémentaire dans l’orgasme est venu tardivement dans la lignée primate qui aboutit à nous-mêmes.
Je soupçonne qu’un nonapeptide voisin, vital, la vasopressine, agit de concert pour rendre turgescentes les lèvres de la jeune femme pubère, ainsi que ses mammelons.
Evidemment, les ennemies du genre humain, subventionnées en raison de leur pouvoir de nuisance, hurlent que le concert d’hormones qui réalise le développement des glandes mammaires durant la grossesse fait partie d’un horrible complot masculiniste et patriarcal...
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