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cniko 9 juin 2020 14:59

Si quelqu’un en a le temps et les compétences, il serait intéressant de faire le lien entre les différentes études publiées en montrant les éléments suivants : POur ou contre le traitement / préciosité d’utilisation / titres dans les médias / Soutients affichés (avec leurs conflits d’intérêts) / critiques de l’étude / détracteurs (ici aussi avec leurs conflits). 

En essayant d’être objectif.

Je vais essayer d’en faire une partie : 

Chez les contre

  • Etude chez les vétérans US / effets néfastes / prises très tardives et méthodes largement contestée / soutenu par Véran
  • Lancet / pas besoin d’en ajouter
  • Autres études US sur des patients hopistalisés
  • Recovery sur des patients hospitalisés
  • Boulware : idem
  • Etude du CEA —> en comparant sur des singes... Del fraissy

Chez les pour

  • Raoult / Pas de double aveugle (ne peut on comparer avec les cohortes de gens non traités ?)
  • institut Pasteur au Sénégal (pas de double aveugle mais des résultats dans la gestion de l’épidémie) + une partie en randomisée
  • Algérie (pas une étude mais une épidémie qui semble être sous contrôle)
  • Etude des 88 cas en France
  • Etude Indienne
  • Le résumé ici : https://academic.oup.com/aje/advance-article/doi/10.1093/aje/kwaa093/5847586

A ce jour, je n’ai trouvé aucune étude fiable démontrant la toxicité du traitement préconisé, bien au contraire, éventuellement des mises en garde mais sans contexte et sans étude précise. Plusieurs séries d’études à travers le monde, lorsque le traitement est donné en première intention semblent démontrer un bénéfice pour les patients.

Les études « contre » sont fortement médiatisées, là où la plupart des « pour » sont passées sous silence. 

En conclusion, il est démontré que le risque de cette bi-thérapie est négligeable, que son bénéfice n’est pas quantifié mais semble être concret d’un point de vue empirique. Nous avons donc un bénéfice constaté sur un risque quasi nul (sous réserve de le prendre dans les conditions adéquates). Comment justifier encore le refus de cette posologie, et pire en interdisant aux médecins de prescrire en fonction de leur âme et conscience ? 

La HAS, le conseil scientifique, Véran, l’INSERM et les ARS auront beaucoup de mal à justifier de leurs positions quand toute la lumière sera faite (si ça arrive un jour). Les médias aussi pourront être mis en cause de part leur traitement partial et incomplet. Quand à Rosmar et Alcyon : « you can bring a man to school but you can not make him think »


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