Les pays à forte immigration, comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada ou les Etats-Unis ont tous un ministère dédié, avec une politique claire. Quotas selon les besoins, mécanismes de sélection, dispositifs d’aides à l’iintégration, conditions de séjour etc. Qui plus est, ce qui peut paraître absolument stupéfiant pour des Français, ces pays se donnent les moyens de faire respecter leurs propres règles.
Au final, même si bien entendu des problèmes d’assimilation et des frictions inter-ethniques existent, l’idée est que le pays se mérite, et qu’il n’est pas question d’y entrer comme dans un moulin. De fait, ces pays attirent des talents, conscients de la chance qu’ils ont, et l’immigration y reste positive.
La France n’a pas de politique d’immigration.
Tout est fait au doigt mouillé, selon les circonstances, les émeutes, le bon vouloir des uns et des autres. L’immigration y est prise en charge par des associations fortement orientées et factieuses.
En France, c’est open bar pour des milliers de pauvres hères incultes et souvent traumatisés qui finissent souvent par se retrouver dans la nature, douchés par la dure réalité. Quand ce ne sont pas des mafieux ou des criminels qui ne viennent que pour étendre leur territoire de chasse. Pourquoi s’étonner du résultat inquiétant ?
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