Tout cela participe d’une mascarade qui n’en finit plus. Le virus reste contagieux, certes. Mais est-il aussi virulent qu’il l’était en janvier/février ? Non. sinon, les gens tomberaient comme des mouches depuis le 11 mai. Plusieurs médecins et scientifiques (Hendrik Streeck, Yonathan Freund, Alberto Zangrillo) peu médiatisés il est vrai car trop « optimistes » pour la doxa dominante, ont expliqué ce phénomène vieux comme Hérode : le virus, en s’adaptant à l’environnement humain, mute et perd en virulence. La charge virale des testés positifs depuis qu’on est en phase descendante de l’épidémie est en chute libre, et c’est comme ça que les épidémies se terminent.
La question serait donc : retrouve-t-on cette seconde vague dans les hôpitaux/urgences chez les médecins ? Réponse : non. Mais ça n’intéresse pas LCI, ni les fous furieux qui veulent continuer à nous pourrir la vie jusqu’à la fin des temps.
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