Les déclamations bourgeoises sur la famille et l’éducation, sur les doux liens qui unissent l’enfant à ses parents deviennent de plus en plus écœurantes, à mesure que la grande industrie détruit tout lien de famille pour le prolétaire et transforme les enfants en simples articles de commerce, en simples instruments de travail.
Karl Marx, Manifeste du parti communiste (1847)
Sur le slogan « mon corps m’appartient », un point de vue catholique, par Laurent fourquet :
Si le corps est conçu comme une propriété économique et juridique, il devient comme un capital à exploiter. Le discours que sous-tend le slogan « mon corps m’appartient » est ainsi, sous ses apparences « libératrices » et « progressistes » un discours d’aliénation radicale du corps, réduit à n’être plus que l’instrument de la performance qu’on lui demande.
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