« Car il vient nous rappeler que nous sommes une espèce trop vorace »
Non ! il nous est rappellé que nous sommes une espèce TROP NOMBREUSE, car la frugalité ne fait que repousser l’échéance, sans rien changer au fond du problème. À quoi sert en effet de consommer moins si nous sommes chaque jour 200 à 250 000 consommateurs de plus ?
Par ailleurs, consommer à mi-année ce que la nature nous offre pour un an, ne crée par une dette, qui se rembourserait ; cela consiste à effectuer, dans des ressources non renouvelables, un prélèvement que rien ne pourra restituer à temps.
Cela signifie, en bonne logique, que le seul remède crédible consisterait à diviser la population, au moins par deux, de préférence par une dénatalité expliquée et consentie, si nous voulons éviter à notre descendance que la nature s’en charge à sa manière.
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