Elle ne doit pas se sentir seule, d’autres aussi, malheureusement pas assez, se sentent broyés et privés de leur vie avec la conscience aigüe de la maltraitance sur autrui et sur les plus fragiles.
J’essaie de ne pas craquer pour ne pas leur faire ce plaisir. C’est compliqué mais c’est ce qu’ils recherchent pour mieux nous neutraliser. J’en suis venue à parler de moins en moins, à être presque lapidaire dans mes échanges quand la discussion tourne ne boucle avec des reproches comme « oui mais les jeunes font n’importe quoi, ils s’éclatent ». Le plaisir des autres semblent pour beaucoup insupportable.
Tant qu’on leur ôte le droit de vivre naturellement, avec cette entrave étouffante, j’ai bien peur qu’à ces jeunes, ils ne leur restent plus que la possibilité de s’éclater, juste pour que leur vie entière et leur avenir n’éclatent pas.
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