En réponse à :
« Vivre dans notre monde en étant bien dans ses « pompes » n’est pas le signe d’une bonne santé mentale. »
« Il y a toujours en moi cette interrogation : pourquoi ne sommes nous pas originellement et naturellement sains d’esprit ? »
Il y a comme une contradiction entre ses deux phrases. Vous reprochez à ceux qui sont équilibrés de l’être, et vous regrettez ensuite que tout le monde ne le soit pas.
A vrai dire votre texte part dans tous les sens, et toutes les suppositions. Il y aurait une sorte de pensée cynique, une sorte de complot chez les puissants : « L’organisation du monde actuel est en passe de disparaître, telle est la volonté des puissants »
Je crois que c’est leur faire l’honneur d’une pensée autre que leurs intérêts à court terme, et une possibilité de se mettre d’accord sur un projet qu’ils sont loin d’avoir. En fait vous êtes perdu, et après vous être moqué de tous les psychanalystes et les discoureurs de salon, vous n’êtes pas même capable d’émettre le moindre projet, de vous rallier à la moindre idée de changement. vous constatez qu’il n’y a plus qu’à continuer à ramer, ou à remonter le rocher de Sisyphe.
Il est possible également que notre plus grand risque ne soit pas une nouvelle catastrophe mais simplement notre propension à détruire la vie et notre environnement.
Merci pour ce dernier renseignement semblant sorti des années 50. Un lanceur d’alerte avec un temps de retard à l’allumage. Il faut de tout pour faire un monde.
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