Sur le plan moral, tout nous oppose.
Tu approuves l’organisation d’un maximum de guerres civiles ; je désapprouve.
Tu approuves l’organisation d’un maximum de fraudes électorales ; je désapprouve.
Tu n’as jamais eu la puce à l’oreille devant l’énormité de la campagne de presse et des émeutes, parce qu’un drogué a succombé à une overdose de fentanyl.
A ta décharge : tu n’as jamais encore pris en pleine figure à quel point l’oligarchie financière a vérolé la presse aux ordres, qui te dicte tous les bobards auxquels tu dois croire. Oligarchie guerrière aussi, en ce qui concerne le Figaro.
Un exemple de ce bobardement intensif :
Eric Turcon avait vanté à son client Alfred Sirven comment fonctionne la presse aux ordres :
— Et puis il y a encore un journaliste pro-juges qui vient de faire un article contre nous.
— Comment ? Un journaliste pro-juges ? Mais je croyais que le problème avait été réglé ?
— Ne t’inquiètes pas. On s’est occupé de lui. Sa carrière est terminée.
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