le scandale de l’Hydroxychloroquine/Remdésivir, entre corruption, crime de masse et machiavélisme
Pour faire l’avocat du diable, pourquoi écarter l’hypothèse la plus naturelle : celle de la toute simple bêtise qui consiste à refuser d’admettre ceci :
pour tout médecin qui se respecte, il est indigne du serment d’Hippocrate de ne donner qu’un placébo à un patient lorsqu’on est soi-même persuadé par son savoir et par son expérience qu’un remède a une efficacité de guérison plus probable ; et, l’a priori dit « scientifique » des « tests randomisés en double aveugle » dans le cas de médication humaine ne saurait justifier que le patient se voie proposer d’être soigné ou pas en conséquence d’un lancer de dés !
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