Ce M’bafo Pian est bien juste un larbin lèche-botte et serviteur zélé du NOM, du nouveau pouvoir des Banques Centrales, déjà quasiment établi, en réalité, depuis la crise de 2007-2008.
Le RU est déjà en partie en œuvre, actuellement, avec le financement « étatique » du chômage « partiel » créé par le confinement.
« C’est, comme l’explique lui-même Patrick Artus, voix « française » de la MMT, « théorie monétaire moderne » mondialisée, ce que représente vraiment le « chômage partiel » institué à cette occasion : une forme de « revenu universel de base » financé directement par les Banques Centrales, via la dette publique qu’elles « sponsorisent » !!!
C’est une application concrète de la théorie de l’ « helicopter-money » de Milton Friedmann, simplement adaptée aux conditions actuelles du développement des forces productives.
Ce qui n’est pas viable au niveau d’un État pris dans un environnement mondial « concurrentiel » devient tout à fait viable à l’échelle d’une économie mondialisée contrôlée globalement par les banques centrales, et cette mise en pratique se retrouve, sous une forme ou sous une autre, dans toutes les économies des pays les plus avancés technologiquement …et banco-centralisés, financièrement ! »
https://tribunemlreypa.wordpress.com/2020/10/13/vous-avez-aime-la-premiere-vague-et-le-confinement/
« Renoncer au plein emploi, que ce soit sous une forme de « revenu universel » ou une autre, y incluant le prétendu « salaire à vie » version Bernard Friot, c’est renoncer à l’unité prolétarienne et accepter que la bourgeoisie nous divise et nous soumette, par cette dépendance.
C’est, définitivement, renoncer non seulement à la Révolution Prolétarienne, mais tout de suite aux maigres restes d’humanité et aux dernières libertés que le système nous laissait encore « avant-Covid ».
Plein emploi ne signifie pas forcément, pour autant, que tout le monde travaille 35 à 40 heures par semaine, mais que tout le monde a la possibilité d’avoir une vie professionnelle contribuant à la construction et à la prospérité du pays.
Ce qui s’appelle le partage du travail.
Chacun contribuant ainsi, doit pouvoir vivre décemment, en retour, avec son salaire.
Si la production résultant du travail de tous est suffisante pour répondre aux besoins sociaux, ce qui est potentiellement le cas avec les forces productives modernes, le salaire doit nécessairement correspondre à un niveau de vie décent, quel que soit le temps de travail, une fois partagé.
Ce qui est donc déterminant, c’est d’affecter les crédits aux investissements utiles dans ce but.
Ce qui compte, en dernière analyse, c’est le contrôle démocratique du crédit par les classes prolétariennes et l’ensemble des classes populaires.
Ce qui implique également, comme condition de base, nécessaire mais pas suffisante, de nationaliser les banques.
Et ensuite, de les chapeauter par un Conseil National du Crédit, qui soit l’expression démocratique de la volonté populaire et prolétarienne et permette de coordonner les initiatives créatrices dans un plan économique représentatif à la fois des besoins sociaux et d’une utilisation appropriée des ressources. »
https://tribunemlreypa.wordpress.com/2020/10/13/vous-avez-aime-la-premiere-vague-et-le-confinement/
Luniterre
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