Pour moi, le simple fait de mettre en avant les chiffres des « testés positifs » rebaptisé « infectés » voir « malades », et ce en refusant de préciser le taux d’amplification des tests, prouve une volonté délibérée de nous nuire, surtout quand ces mêmes chiffres intentionnellement fallacieux servent de prétexte pour nous priver de liberté par petites touches successives via des décrets passées en catimini.

Donc aucune confiance dans les « remèdes » imposés par ces mêmes dirigeants malhonnêtes, et surtout pas les vaccins « type ARN ».

Je rappelle les points négatifs suivants de ce vaccin :

1. les dirigeants de Pfizer n’ont pas voulu se faire vacciner au motif qu’ils ne voulaient pas jouer les privilégiées, ce qui ne les a pas empêché de retarder l’annonce du vaccin à une date leur permettant de vendre leurs actions. A ce niveau ce n’est pas du privilège mais du délit d’initiés.
2. En phase III, le vaccin n’a pas été autorisé aux femmes enceintes ni aux personnes souffrant d’allergies. Ceci démontre bien qu’il existe un risque, et donc que ce vaccin est potentiellement dangereux, et que cette dangerosité est volontairement cachée.
   
3. Toujours en phase III, le vaccin n’a pas été injectés aux personnes de plus de 65 ans, donc par le simple principe de précaution, le vaccin doit être interdit aux personnes de plus de 65 ans. Or en France par qui va-t-on commencer les injections ??, pouf pouf...
4. Les labos Pfizer et Moderna ont demandé que leurs responsabilités ne soient engagés. Désolé mais moi je n’achète jamais un produit s’il n’a pas au moins une période de garantie constructeur « rassurante ». Si demain Renault cherche à vous vendre une clio sans garanties, vous faites quoi ??, vous l’achetez quand même ?
5. Pourquoi acheter le vaccin aussi cher, alors même que le gouvernement américain a déjà payé les études.
6. Pourquoi nous imposer un type de vaccin, et ne pas nous autoriser à choisir d’autres vaccins plus classiques en qui nous aurions plus confiance.
7. Pfizer à exigé que les vaccins soient stockés à -80Degc. Outre la difficulté à trouver des frigo aptes, cette énorme différence entre la température de stockage et la température d’injection, soit 100Degc (de -80 à +20 qui correspond à une salle de soin, on parle de choc thermique), fait qu’on est en droit d’émettre des doutes quand au strict respect de la chaine du froid (quid du délai de stockage dans la salle de soin avant injection, surtout quand cette salle de soin se trouve être un cabinet médical de quartier)