@Oceane
C’est le bon choix, en effet.
Hypothèse : on a trouvé en l’histoire de Djaili Amadou Amal un bon filon, et en elle-même un bon profil. Mais on aurait pu se contenter d’en faire un best-seller, dans le genre « Jamais sans ma fille », personne n’aurait trouvé à redire. Pourquoi aller faire un hold-up de prix littéraire pour une autrice dont le talent est à remettre en question, au point où on a dû tout bonnement réécrire son livre pour le rendre acceptable pour le lectorat français ?
D’abord le Prix Orange du Livré en Afrique 2019, ; puis le prix Goncourt des lycéens 2020. C’est tout simplement regrettable.
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