« Je pense à ceux qui la choisissent comme option définitive pour quitter ce monde. J’essaie humblement de comprendre comment en arriver à une telle extrémité. Quelle immense dose de désespoir confinant au vertige, proportionnel à l’incroyable courage qu’il faut pour passer à l’acte, sachant qu’au fond de soi on commet un acte irréversible et contre nature. Exception faite peut-être de celui du mourant en fin de vie dans son lit de souffrance, ou dans ce cas, le geste peut se concevoir et devient compassionnel. »
Celui qui a vu sa mort pourrait dire qu’elle ne lui a pas paru hostile. Son inquiétude, sa crainte ou sa peur vienne de tout ce qui lui était cher, de ce qu’il va abandonner dans cette vie, ses amours, ses projets inachevés, ses joies... Ce n’est pas la mort qui l’aura effrayé à cet instant, elle sera passé au second plan. Ceux qui ont vu leur mort le savent.
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