Le cas du Danemark et l’énigme du variant anglais a été également souligné par M. Blachier
Ça ne changera strictement rien sur le plan épidémique, sinon qu’on aurait dès lors 100% de ce variant... et toujours 20.000 cas par jour. C’est ma théorie, je pense que c’est ce qui va se passer. À l’inverse, suivons un instant ce modèle que je rejette : en Île-de-France, où la moitié des souches sont britanniques, on devrait avoir un taux de reproduction entre 1,1 et 1,2. Or on est toujours au-dessous de R-1 dans la région.
Au Danemark, on a un contre-exemple encore plus net : ils ont un taux de variant anglais qui augmente, et des courbes de contamination qui descendent nettement. L’épidémie ne fait que décroître, alors que le variant anglais est beaucoup plus haut que chez nous. On voit donc bien que ça n’a rien à voir. À l’inverse, dans les pays qui avaient rouvert les bars et restaurants, comme le Portugal ou le Royaume-Uni, le variant anglais a certes pris, mais en pleine période de contagion.
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