Tout ce qui est rare est cher.
La vie est rare (elle est fragile, courte, et chacun n’en a qu’une).
Donc la vie est chère.
Tout ce qui va dans le sens de la préservation de la valeur de la vie en temps de grande menace est bon. C’est en ce sens que je comprends le « quoi qu’il en coûte ». La priorité était de protéger les plus vulnérables (les vieux, les acteurs économiques fragilisés). Mais toute aide ne relève pas de cet impératif essentiel (on ne sauvera pas tout). Le quoi qu’il en coûte ne doit pas virer au « quoi qu’il encroûte ». Les situations ne doivent pas s’encroûter.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération