[suite et fin]
Ces révélations, d’abord vite évacuées comme des « thèses complotistes »
(le Pr. Montagnier fut accusé d’être un « complotiste gâteux » et ses
travaux furent aussitôt discrédités et censurés dans les médias et sur les
réseaux sociaux comme Facebook) ressemblent en tout cas à astéroïde géocroiseur
qui vient périodiquement menacer la mare aux canards et autres médias alignés
sur la doxa scientifique et médiatique officielle. Pour laquelle le coronavirus
responsable du Covid, comme tous les autres coronavirus récents, ne peut être que
le fruit d’un accident de la nature, une mutation observée lors de sa transmission
zoonotique à l’homme : pangolin, chauve-souris, oie sauvage ou autre. Un
scénario bien huilé et resservi de nombreuses fois à propos de plusieurs
épidémies précédentes plus ou moins dangereuses ou létales, et réputées dues à
une transmission zoonotique : grippe aviaire, grippe H1N1, SRAS, MERS, etc...
La plupart de ces grippes à coronavirus étant supposées suivre peu ou prou le
même modèle, même si cette hypothèse est remise en cause.
Une façon au passage de battre sa coulpe, puisque l’homme est accusé d’être
responsable de ces déséquilibres qu’il cause au milieu animal en mettant en
péril les grands équilibres écologiques et zoologiques de la planète pas une
surproduction, une surconsommation, notamment de viande animale, la
déforestation, la destruction des milieux naturels et le déplacement d’espèces
animales qu’elles entraînent, exposant dangereusement les villes et les
populations au risque de transmission de nouveaux virus véhiculés par certains
animaux sauvages. Les sanglots de l’homme blanc en version Avatar…
En pointant ainsi la responsabilité de l’homme à propos des mutations génétiques
qui engendrent de nouveau virus et des maladies parfois mortelles qui mettent
en péril sa santé, on entretient parmi les populations touchées une culpabilité
bien utile pour leur imposer ensuite toutes sortes de maltraitements : matraquages
médiatiques anxiogènes (l’un des outils de l’ingénierie sociale depuis un
siècle), surveillance renforcée, isolement des individus suspects, distanciation
sociale, port permanent de la muselière réglementaire, internement à domicile,
ou dans de centres de confinement créés pour l’occasion, tests à répétition
aussi inutiles qu’inefficaces (mais très rentables), servant à justifier des 2e,
3e ou nième « vagues » imaginaires qui laissent s’étouffer
les épidémiologistes sérieux, elles-mêmes servant à justifier des
reconfinements et couvre-feux sans fin, les fermetures arbitraires et
totalement inutiles de lieux publics, restaurants, salles de sports, de spectacle
et autres lieux récréatives qui eussent permis d’alléger le poids des mesures
sanitaires, de la déprime générale et de la destruction des économies et des
personnes jetées à la rue ou l’extrême pauvreté. Des mesures multipliées jusqu’à
exaspérer les populations afin de les contraindre aller se faire tester,
vacciner, revacciner, de se faire tracer par des applis de flicage numérique,
de signer des attestations absurdes, de se munir d’un passeport santé, demain (ou
dès aujourd’hui si l’on en croit Bill Gates) inclus dans les vaccins eux-mêmes
grâce aux « smart dusts », puis d’être pucés et encore plus
surveillés, de renoncer une à une à toutes leurs libertés.
Tout ça pour servir les intérêts
des actionnaires de quelques labos cyniques et criminels. Et ceux des multinationales
qui profitent de la redistribution économique et financière (le fameux Great
Reset de Klaus Schwab) provoquée par ce choc épidémique.
Le pauvre petit pangolin a bon dos ! Comme toutes ces savantes théories
scientifiques qui nous expliquent par le menu détail à propos des mécanismes de
mutation génétique comment ce méchant coronavirus serait « apparu ».
Face à toutes ces magouilles, ces crimes contre l’humanité et le bon sens, ce cynisme
et cette obstination à nous rabaisser au rang chair à pâté pour chien de
milliardaire.
L’éthique scientifique, médicale et pharmaceutique, mais aussi politique et
médiatique, a du plomb dans l’aile : de nombreux acteurs scientifiques de
premier plan comme Raoult, Perronne, Toussaint Toubiana, Fouché, ne cessent de
le rappeler de semaines en semaines depuis un an et plus. Et derrière ces
exemples flagrants de corruption manifeste se cache d’autres responsabilités :
celles de scientifiques qui n’ont pas le courage ou l’intelligence de remettre
en cause des théories qu’ils prennent pour acquises. En croyant toujours comme
les foules ignares aux mythes de « l’objectivité », de la « rationalité »
ou de la « vérité scientifique ».
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