Migrer ? Migrant ?

Quand vous partez de votre pays, contraint, forcé, , menacé.... Vous prenez votre valise, ou votre baluchon, ou vos poches, et vous y mettez, le peu que vous pouvez emmener, et généralement, ça prend peu de place.

Ce que je n’accepte pas, c’est que ce « peu de choses » qui ont été amenés sur un autre sol, une fois déballé, devient, et veut devenir supérieur à ceux que les autochtones ont de par leur héritage culturel.

Alors, c’est là que la perversité prend forme, car, ceux qui déballent le peu qu’ils ont amené, comprennent que la voie la plus rationnelle pour exister dans ce nouveau monde, et de faire valoir, et jouer de leur « différence esthétique ». coloré en racisme, pour mieux SE « victimiser » !

Si cela se limite à cela, ils en sont les premiers responsables  !

On n’attend pas d’eux qu’ils justifient, ce que, mère nature dans son oeuvre naturelle , à cru bon modeler, NON !

On attend d’eux qu’ils fassent preuve d’adaptabilité pour que nous puissions y répondre, sans peurs, sans haine. Les considérer comme des + pas des moins en soustraction continue.

Parce que, si ce n’est pas le cas, on pourras toujours leur rétorquer qu’ils se comportent comme des lâches, ayant fui, un pays, ou les valeurs de reconnaissances, qu’ils exigent sur leur nouveau sol, seraient bienfaitrices pour leurs peuples restés en souffrance.

Alors, soldats, sans guerre, c’est une inutilité vaseuse de la vie qu’ils désirent mener,

Oublieux de leurs origines et de leurs pères, et devenir, exigeants, pour un microcosme, oublié des leurs.

L’intégration, fortifie celui qui mène ce combat, comme le pays, qui croit en cette valeur.

Le reste, n’est que guerre de tranchées contre guerre de tranchées, reprises, perdues, reprises, sans que, jamais personne ne gagne, ni en estime, ni en considération, mais juste en alimentation de haine....en plat du jour partagé !