Au lendemain du 16 mars 2021, avec la sidération induite par l’enfermement de la population, j’entendais à la radio dire que la crise sanitaire pourrait changer nos modes de consommation, notre manière de penser, que nous ne pourrions plus continuer à miser toujours et toujours sur la croissance, que la nature reprendrait ses droits.
Je n’y crois pas. Ce n’est pas ce qui se dessine.
En revanche, je suis d’accord avec vous sur le fait que le changement ne pourra se faire que mondialement, contre cette mondialisation.
C’est comme pour l’Europe, l’Europe a été imposée et construite par des commerciaux, des financiers, contre l’humanité. Elle ne pourra se faire que si nous retrouvons notre place en tant qu’humain. En refusant cette Europe qui se sert de nous au lieu de nous servir.
Le changement ne peut se faire que si nous sommes unis. Sans géométrie variable en matière de salaire, de fiscalité.
Ce n’est pas gagné.
« sauver nos jeunes générations de leur névrose de toute puissance. »
Quid de la névrose de leurs parents ? Elle est, elle aussi, bien présente.
Regardez où nous en sommes depuis des années et encore plus depuis plus d’un an ? Parents comme professeurs, s’ils ne sont pas névrosés, alors !
Des Rois ? des gosses qui font tout bien comme il le leur est demandé.
Des gosses perdus. Qui demandent à être bâillonnés pour ne pas crier peut-être ? Je n’ose même plus espérer qu’ils aient envie de se libérer.
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