De toute façon, Bayrou a brulé ses bateaux estampillés UDF. Il ne peut plus revenir en arrière, et son seul salut possible est d’aller de l’avant avec son nouveau parti. Ensuite, à partir des législatives, le désert à traverser sera plus ou moins long et aride suivant la cohérence des électeurs, le taux de participation (12,5% des inscrits pour se maintenir au 2eme tour des législatives, c’est pas la même chose avec 70 ou 80% de votants) etc, etc...
C’est sûr que si le PS se scinde, ça sera nettement plus facile, mais c’est loin d’être fait, même en cas de défaite le 6 mai