En réponse à :
L’État, c’est NOUS. Comme il faut détruire le Peuple, appliquant ce qui était une boutade de Berthold Brecht de façon insensée, mais logique en interne, il faut détruire l’État. Dissoudre le Peuple, quel rêve démentiel de tyran aussi logique qu’un vrai cinglé ! Le Peuple dissous, son émanation dissoute également, ne reste qu’une pâte aux cris plaintifs et inutiles, dont on fait ce qu’on veut, une pâte à peine humaine puisque l’humain a sa dignité, son passé et son avenir, et que là il ne s’agirait que d’animaux inférieurs, pitoyables si « CES MESSIEURS » savaient ce que signifie le concept de pitié.
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Une question se pose cependant : en quoi pourrait bien consister l’interface entre ce POUVOIR non pas surhumain, mais PARFAITEMENT inhumain, et ce dont il faudrait bien se servir, animaux supérieurs ou non, plantes, cailloux ? Quels robots au sens premier (travail, en tchèque) seraient en mesure de recevoir des ordres ayant une certaine logique, et de les transcrire en autres ordres susceptible de faire se mouvoir dans le sens attendu cette pâte indifférenciée d’animaux, de plantes, de minéraux ? Là sans doute pourrait bien se situer la cause de l’échec d’un tel programme. Il est même assez vraisemblable, qu’une telle construction tienne moins longtemps que l’empire romain, voire moins encore que le Reich de 1940 « qui devait durer mille ans ».
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