Complotons, complotissimement, c’est le joli jeu qu’il nous reste !
Voilà donc un gars-président qui décide de son propre chef, ouh la mauvaise tête, d’aller serrer quelques paluches là où ce n’est pas prévu. Tel Pogba au mieux de sa forme, contrepied pour les services d’ordre, passement de jambe, petite foulée de match amical, et où va-t-il ce gros nigaud ? Direct chercher sa baffe ! Il fonce droit sur le type qui va l’estourbir. Et regardez bien le ralenti, juste avant le but : c’est qu’il prend bien gentiment dans sa main droite l’avant bras gauche du violent, c’est tranquille, amical et presque il tend la joue ! Pour recevoir la bise ? Et là formidable, il y a déjà un photographe-vidéaste complice bien en place qui n’attend que d’immortaliser la scène. C’est un type de photographe quantique, et les trois particul-iers, le photographe, le baffeur et le gars président sont intriqués (l’intrication est un phénomène dans lequel deux particules (ou groupes de particules) forment un système lié, et présentent des états quantiques dépendant l’un de l’autre quelle que soit la distance qui les sépare.) Où qu’ils soient et ou qu’ils aillent ils ont à voir ensemble. Le trio coureur-président, baffeur, photographe-vidéaste sont liés. Dans n’importe quel point de l’univers la baffe photographiée aurait et a eu lieu. Mais le chat de Schrödinger devant tout de même être mort ou vivant, cette superposition quantique d’un chef de l’état, d’un caméraman, et d’un torgnoleur se résout quand on prend la mesure du phénomène. Et là, paf, retour à Newton et ça tombe comme à Gravelotte !
Mais la vraie question est peut-être : Cette baffe n’aurait-il pas été la chercher ?
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