Pas du tout ! Pour moi la solution est l’abolition de la propriété, ou du moins de ce que certains nomment l’abusus, soit le droit de louer, de détruire. La communauté gère le fructus, c’est-à-dire la construction, la réparation en commun, et le citoyen (TOUS les citoyens) se contente de l’usus, le droit d’être abrité, de se servir des outils communs. Dans ce système, la monnaie n’existe pas. Personne n’est au-dessus d’un autre, ce qui n’empêche pas de convenir que pour telle action, telle personne sera désignée par ses pairs pour assurer la coordination et la répartition des tâches.
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Qu’on ne me rétorque pas que c’est impossible : c’est impossible si certains mettent des bâtons dans les roues et décrètent que c’est impossible. A la communauté de les ostraciser, afin qu’ils ne bloquent pas la vie commune.
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