@Yaurrick
@Francis, agnotologue
Si c’est vraiment le cas, les personnes qui ont été contaminé par le coronavirus sont encore plus en danger, car en plus de la protéine spike, elles ont eu aussi l’ARN du virus injecté dans leurs cellules, tout cela à grande échelle.


Il faudrait quand même éviter de tout mélanger. Je ne suis pas scientifique, loin de là, mais j’ai essayé de me faire une idée grâce à toutes les informations que j’ai vu passer.

Lors d’une infection :
Dans la première phase, le virus, en bloc, va être attaqué par le système immunitaire qui sait déployer tout un arsenal contre ce genre d’envahisseurs, même si bien entendu un certain nombre de cellules seront affectées, infectées et détruites. Dans la deuxième phase, il semble que les débris de ces virus (dont les protéines spike) causent des ennuis au niveau des parois des vaisseaux sanguins. Mais là aussi, le corps a ses éboueurs, sauf pour des sujets fragiles (comorbidités, immunodépression, etc.). Une fois le nettoyage terminé, le malade est guéri. Dans le covid long, j’imagine que les éboueurs ne sont pas intervenus assez vite/fort et malheureusement, il semble que les séquelles aux vaisseaux sont irréversibles, d’où différents problèmes qu’on pourrait relier à la fibromyalgie dont certaines recherches laissent à penser qu’elle serait également due aux séquelles d’un phénomène infectieux (ou vaccinal, eh oui là aussi...). En résumé, on va dire que le corps a éteint l’incendie même si parfois, chez certains, des zones ont été carbonisées et ne se remettront pas en état.

Lors de la vaccination :
On ordonne aux cellules (lesquelles, combien de temps, quelle quantité, on n’en sait rien, oui, je me répète : les apprentis-sorciers, on y revient toujours) de produire ces mêmes protéines spike qui pourtant posent problème. Ces cellules qui produisent de la protéine spike ne sont pas détruites comme les cellules infectées ou alors il faut m’expliquer ce qui m’a échappé... Donc les cellules transformées en usine à spike les produisent tant et plus, avec les conséquences qui sont en train de se faire jour et qui bizarrement ont toutes un lien avec les vaisseaux sanguins (mini thromboses, myocardites, embolies, les menstruations). Parce que, oui, les anticorps vont les combattre (en espérant qu’ils ne seront pas dépassés par le nombre) mais ces spikes auront eu le temps par exemple de provoquer l’intervention des plaquettes lesquelles vont avec zèle boucher tous les vaisseaux qu’elles repèrent comme abîmés par les spikes avec les conséquences que l’on commence à voir. Et comme la production de spike continuera puisque les cellules en ont reçu l’ordre, tout le système immunitaire va se mettre en surrégime à terme. En résumé, on va dire que le corps va auto alimenter l’incendie et il y a fort à craindre que la carbonisation concernera tout le corps et pas seulement certaines zones...

Ce que je trouve extrêmement louche depuis quelques mois, c’est l’insistance appuyée à minimiser les effets secondaires liés à cette vaccination (p.ex. un jeune de 27 ans en pleine santé, aux soins intensifs après vaccin, cet exemple étant dans mon entourage et pas dans les médias, et j’en connais plein d’autres) et l’obligation à peine déguisée de la faire, au risque de devenir un paria en cas de refus. Alors que les données s’accumulent, alors que par le passé, au vu de ces données, on aurait pour le moins ordonné un moratoire, là on fonce... C’est incompréhensible.

Ce que je trouve tout aussi incompréhensible, c’est le manque d’alternative. Des milliers de molécules existent, qui ont passé toutes les phases de test, qui sont employées depuis des décennies pour certaines, et pourtant elles sont balayées devant le leitmotiv de la vaccination. Pourquoi ?

Je ne suis pas anti-vaccin, j’ai reçu toute la panoplie et ma fibromyalgie est probablement une séquelle de l’un des vaccins qui circulent dans mon corps, mais j’ai appris à vivre avec et à relativiser. Sans la médecine moderne, je serais déjà morte plusieurs fois et depuis longtemps (au choix, tétanos, bronchopneumonie, choc anaphylactique, septicémie). Mais là, c’est viscéral, je bloque, il y a quelque chose de pas net qui est en train de se passer, de l’ordre de la malhonnêteté intellectuelle, de la manipulation ou que sais-je, alors j’ai décidé de planter les freins.

Dans « Inondés » j’évoquais le « seuil de compétence » de l’humanité pour ce qui est de la technologie, car avec la 5G, par exemple, personne ne peut prédire comment nos organismes vont réagir sur le long terme, parce que là de nouveau on n’en sait rien et que les considérations du business pèsent plus lourd que celles ayant trait à la santé. Mais force est de constater que la science arrive aux mêmes dérives et que notre santé ne fait pas le poids face au fric.