On en voit de belles avec la Snef, comme on disait.... ainsi j’ai vécu la tempête Cynthia à Poitiers ; le surlendemain j’avais mon billet de retour, mais pas de train. Ni le suivant. Enfin j’en prends un qui correspondait (il me fallait changer à Tours vers Nantes). Place assise, impec. A Saint Pierre des Corps je descends, et là surprise, des employés (oui, ils étaient là) annoncent aux voyageurs : ligne vers Nantes bloquée par des arbres, reprenez le train pour Paris ! Bien entendu ma place était prise, je me suis retrouvé dans le couloir au milieu d’une forêt de valises. Arrivé à Paris avec des chevilles gonflées comme des baudruches, j’attends un train vers Nantes. Là encore, annonce : un train spécial est en formation, mais nous avons des difficultés à réunir les wagons. Heureusement il y avait quelques sièges durs. Le train arrive, se remplit, repart.... et enfin j’arrive chez moi. J’aurais dû partir à 16 heures, j’ai pu entrer dans mon logement à 2h30.
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Dans l’affaire, les pauvres employés n’y étaient pour rien !
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