Bonjour Christophe, je pressentais ta venue parce que il existe une loi des mouvements et sont venus récemment des auteurs que j’apprécie aussi et qui sont rares sur ce site !
Comme toujours tes articles mériteraient une longue conversation, en terrasse sans masque et sans passe, mais bon.
L’immigration de masse, de plus organisée par un pouvoir dont on sait bien qu’il ne nous veut pas du bien, touche à nos strates primitives : comme tous les animaux, l’Homme reçoit comme une agression l’arrivée en nombre d’étrangers à son territoire ; il faut être bien abîmé pour ne pas avoir conscience de ça.
Je n’ai jamais compris cette histoire de drapeau français brandi en manif : un drapeau est une image symbolique d’un pays à l’égard d’autres pays, à l’intérieur du pays c’est quoi « cocorico » ? Qu’est-ce qu’il veut dire alors ? On veut pouvoir chanter cocorico, être fier de notre pays, alors dégagez avec vos passes ? Sans compter que le passe est l’arbre qui cache la forêt vaccination.
Je suis attachée aussi à l’identité, non pas particulièrement la mienne, mais pour que les autres soient autres, pour qu’on puisse les découvrir, il faut bien que quelque chose les distingue de moi ! On peut noter d’ailleurs que ce qu’on appelle communautarisme se voit dans tous les domaines : les gens se rassemblent parce qu’ils se ressemblent ; c’est dingue cet enfermement.
Je comprends mieux le drapeau qui distingue, ce groupe, du reste, un peu comme les pancartes où chacun dit en trois mots ce qui est le plus probant et important pour lui.
Il suffit, par ailleurs, de voir comment les syndicats ont sauvé l’industrie française et son prolétariat — alors qu’on aurait été en droit de rêver que ces mêmes syndicats non seulement préservent les industries mais fassent de ceux qui les faisaient prospérer, grâce à leur savoir-faire et leur travail, les décideurs de leur politique interne — pour comprendre que les syndicats ne sont là que pour faire tampons entre les uns et les autres, au profit des uns qui pourtant déjà ont le pouvoir. Encore s’ils s’étaient battus pour que le vaccin se fasse en France, comme ils se battent pour garder ouvertes les vieilles centrales
(2ème degré)
Certains le savent depuis 95, moi c’est en 2010 que j’ai décillé.
J’ai commenté au fur et à mesure que je lisais ; puisque tu reviens sur les drapeaux et que tu dis à juste titre qu’ils ( en début de commentaire, je ne défendais pas la CGT, je respectais la liberté de chacun de dire d’où il manifestait son mécontentement ; j’ai assez mal vécu les rapports avec elle au moment des Gilets Jaunes !) n’ont pas à être là, penses-tu que ce ne sont pas les syndiqués actifs mais dupés qui les brandissent ?
Notre monde est vérolé, il y a longtemps que je pleure d’avoir à marcher dans des sables mouvants, rien de ferme, qui aide ou contre lequel on lutte, rien de sécurisant, rien de riant, sauf sa propre énergie qui se nourrit, trop rarement, à la rencontre d’autres qui l"enrichissent !
Merci Christophe
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